Fête de tous les saints
Abbé Jean Compazieu | 25 octobre 2009Textes bibliques : Lire
En ce jour où nous fêtons tous les saints du ciel, l’Eglise nous propose de méditer l’évangile des béatitudes. Ce n’est pas à quelques privilégiés que le Seigneur s’adresse mais à tous les hommes du monde entier et de tous les temps. Il veut que tous soient sauvés. Il commence son apostolat en Galilée, le “carrefour des nations” (Mt 4. 13-17). On y trouve une foule mélangée, composée de croyants et de gens venus du paganisme. A travers cette foule, c’est toute l’humanité que Jésus voit rassemblée. Ce sont des hommes assoiffés de bonheur.
Nous avons remarqué la solennité du début de l’évangile : “Quand Jésus vit toute la foule qui le suivait, il gravit la montagne, il s’assit et ses disciples s’approchèrent. Alors, ouvrant la bouche, il se mit à les instruire.” Aujourd’hui comme autrefois, le même Christ cherche à nous instruire et il prend tout son temps. Il est vital et urgent d’accueillir ses paroles car ce sont celles de la Vie Eternelle. D’autre part, dans le monde de la bible, la montagne c’est le lieu de la présence de Dieu. A ce titre, Jésus y est chez lui. Il est l’Envoyé du Père, venus nous parler en son Nom. Saint Jean nous dit qu’il est le Verbe, la Parole de Dieu faite chair. Il est venu dans le monde pour nous dire le message du Père, son amour. Jean-Paul II disait qu’il est venu donner Dieu à l’homme et l’homme à Dieu. En ce jour, nous demandons au Seigneur qu’il nous donne de savoir l’écouter avec attention, de ne rien perdre de ses paroles car elles sont Lumière et vie.
Cet évangile nous parle donc du bonheur ; c’est un sujet de la plus haute importance qui nous tient tous à cœur. Mais ce que Jésus nous en dit ne correspond pas à l’image que notre monde voudrait nous en donner. Le vrai bonheur ce n’est pas de consommer toujours plus, d’avoir une belle situation, de gagner beaucoup d’argent. Le vrai bonheur dont parle le Christ est ailleurs : “Heureux les pauvres de cœur” nous dit le Christ. Cette béatitude et toutes les autres sont la charte du Royaume. Elles nous montrent que Jésus est venu nous ouvrir un chemin. Le passage est rude et étroit, mais nous ne sommes pas seuls. Le Christ est là pour nous guider. Il nous conduit vers la lumière de la Vie, une vie que rien ne saurait menacer.
Chacune de ces béatitudes est comme une balise sur notre chemin. Elle nous garantit que nous ne nous trompons pas, que nous sommes en marche vers la sainteté. L’important ce n’est pas de vouloir suivre toutes les balises à la fois. Nous ne pouvons pas être en même temps être pauvre comme François d’Assise, doux comme François de Sales, avoir faim de justice comme l’abbé Pierre, être mystique comme Jean de la Croix. Progresser vers la sainteté ce n’est pas accomplir un ensemble de performances. Ce qui est premier c’est de laisser le Seigneur agir en nous. Devant lui, nous sommes tous des pécheurs pardonnés qui auront toujours besoin de sa miséricorde. Ce que le Christ nous demande à tous, c’est que nous lui donnions notre personne et notre vie pour y faire sa demeure.
Quand nous disons le “Je crois en Dieu”, nous proclamons : “Je crois à la communion des saints”. A travers cette profession de foi, nous découvrons la solidarité des saints avec nous. Bien sûr, ils sont avec Dieu. Mais ils sont aussi tout proches de nous. Leur vie de tous les jours a été comme la nôtre avec ses joies, ses peines et son péché. Mais ils ont accueilli cet évangile des béatitudes. Ils se sont laissés transformer et guider par le Christ. C’est à ce bonheur éternel que nous sommes tous appelés. Et le Christ est là pour nous conduire. Il est le Chemin, la Vérité et la Vie. Personne ne peut aller au Père sans passer par lui. Marie, la Reine de tous les saints est toujours là pour nous ramener inlassablement à ce chemin de sainteté. C’est avec elle que les saints ont appris à tout recevoir comme un don gratuit du Fils et c’est avec elle qu’ils vivent actuellement cachés dans le secret du Père.
Il est heureux que, cette année, le jour de Toussaint tombe un dimanche. C’est le jour où les chrétiens se rassemblent pour fêter Jésus ressuscité. Ce jour-là, des femmes se rendaient à son tombeau pour embaumer son corps. Nous aussi, le jour de toussaint, nous avons l’habitude de nous rendre au cimetière sur la tombe de nos défunts. Mais pour nous comme pour elles, la Parole de l’Evangile nous interpelle : “Ne cherchez pas parmi les morts celui qui est vivant”.
La fête de Toussaint tout comme celle de Pâques nous appellent à la joie et à l’espérance. Le mal qui accable notre vie et notre monde n’aura pas le dernier mot. Le Christ ressuscité veut nous associer tous à sa victoire sur la mort et le péché. En communion avec tous les chrétiens du monde entier et avec tous les saints du ciel, nous rendons grâce au Seigneur pour cet amour qu’il nous donne sans compter. Et nous lui demandons qu’il fasse de notre vie une marche vers ce Royaume auquel nous sommes tous appelés.
D’après divrses sources
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Fête de la Toussaint – année B – 1er novembre 2009 – Evangile de Matthieu 5, 1 –12 Une Humanité Heureuse
Alors qu’elle est traitée par beaucoup de mégère pessimiste, culpabilisante, prophétesse de malheurs, l’Eglise a la joyeuse audace de clore son année liturgique – qui symbolise l’histoire du monde – par une fête qui célèbre la certitude de la réussite du Projet de Dieu. Elle ose proclamer que l’être humain, capable des pires crimes et des horreurs les plus abominables, peut aussi, par la grâce de Dieu, accomplir sa vocation fondamentale, devenir d’une incroyable beauté, être SAINT.
Elle ne dit pas qu’il y d’un côté des bandits, des pervers, des damnés et de l’autre des innocents et des parfaits: elle dit aujourd’hui que tout être humain, si bas soit-il tombé, peut, s’il y consent, atteindre la lumière. Abominables et innombrables peuvent être les chutes: elles ne sont jamais irrémédiables.
” Là où le péché abonde, la grâce surabonde”: avec quelle exultation saint Paul écrivait ces mots, lui qui avait été rencontré par un Messie lui offrant son pardon.
La Toussaint n’exige pas que, pour être saints, nous réalisions des exploits prodigieux, que nous nous immolions aux flammes, que nous acceptions de nous dépouiller jusqu’à la nudité, que nous vivions des phénomènes mystiques. Certes des chrétiens ont accompli des merveilles mais eux, ils ont leur jour de fête; tout au long de l’année, nous célébrons leur mémoire, nous les appelons ” Saint…Sainte…”. Aujourd’hui la Toussaint nous tourne vers la foule des anonymes de la sainteté, ces fidèles dont le journal n’a jamais parlé, à qui nul monument n’a été dressé, dont on n’a jamais écrit la biographie mais qui, dans leurs humbles tâches quotidiennes – famille, profession, voisinage, loisirs, politique… -, ont tout bonnement, et souvent sans s’en rendre compte, obéi à Dieu et vécu selon ses commandements.
La Toussaint torpille la conception janséniste d’une petite élite de sauvés contemplant de haut la masse des damnés et elle nous fait partager la vision merveilleuse de Jean:
” J’ai vu une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer, une foule de toutes nations, races, peuples…
Ils se tiennent debout devant le Trône de Dieu et devant Jésus, l’Agneau immolé,
en vêtements blancs, des palmes à la main.
Et ils proclament: ” Le salut est donné par notre Dieu, qui siège sur le trône, et par l’Agneau ! ”
Livre de l’Apocalypse 7, 2-14 = 1ère lecture du jour.
La Toussaint nous dit que la sainteté n’est pas une utopie cachée dans un futur incertain, derrière l’horizon de la vie terrestre: notre transfiguration est commencée. Si nous écoutions saint Jean, nous saurions que déjà, tout de suite, sans attendre, nous pouvons goûter le bonheur de la vie avec Dieu:
Mes bien-aimés, voyez comme il est grand l’amour dont Dieu nous a comblés:
il a voulu que nous soyons appelés enfants de Dieu – et nous le sommes !.
Voilà pourquoi le monde ne peut pas nous connaître puisqu’il n’a pas découvert Dieu.
Bien-aimés, dès maintenant, nous sommes enfants de Dieu,
mais ce que nous serons ne paraît pas encore clairement
1ère lettre de Jean 3, 1-3 = 2ème lecture
Savons-nous assez l’honneur (immérité), le privilège (gratuit), la joie (bouleversante) de parler à Dieu en lui disant: PERE … NOTRE PERE …? Etre saint, c’est accepter d’être aimé.
Les HUIT BEATITUDES : PORTIQUE DU ROYAUME
La Toussaint nous dit que la foi est bonheur: non un petit bonheur mesquin, fragile et éphémère comme une bulle qui serait notre refuge contre les coups de la vie. Mais un bonheur qui est dynamisme, recherche toujours tendue, désir toujours ouvert.
Ce bonheur est décrit par le Seigneur Jésus dès sa prédication inaugurale: huit béatitudes qui se ramènent à quatre couples selon les orientations profondes de l’être humain.
L’ HUMILITE.
Heureux les pauvres en esprit: le Royaume de Dieu est à eux.
Heureux les doux: ils obtiendront la terre promise.
La première condition – tous les Saints l’ont redit – est l’humilité, la conscience de son indigence, le refus de se construire sur ses idées propres, son génie, ses biens, ses possessions. La pauvreté n’est pas habillée de loques: elle signifie le retour à l’enfance, à la confiance en l’Autre, à l’abandon à sa volonté.
LE DESIR
Heureux ceux qui pleurent: ils seront consolés.
Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice: ils seront rassasiés.
Il ne s’agit pas d’être joyeux lors d’un deuil: les pleurs sont ceux du juste qui est passionné par le royaume de la justice de Dieu, qui souffre de voir tant de malheurs: parce que l’amour n’est pas aimé, parce que les hommes bafouent le droit, parce qu’ils se laissent défigurer par le mal, parce qu’ils saccagent le monde que Dieu leur a offert.
Le saint ne se résigne pas au triomphe de l’ignominie, aux blasphèmes contre Dieu et contre l’homme. Il a passionnément soif du Règne de Dieu, d’un monde équilibré où tous les hommes pourraient s’épanouir. Il veut une authentique “société de consommation”: non une frénésie d’achats mais un accomplissement de l’amour.
LE CŒUR
Heureux les miséricordieux: ils obtiendront miséricorde.
Heureux les cœurs purs: ils verront Dieu.
Le salut se joue dans le cœur, au centre de la personne. Malheur au cœur endurci, enfermé dans ses volontés propres, tellement retourné sur lui-même qu’il ne voit pas l’autre ni Dieu. Mais bonheur au cœur tendre qui compatit à la misère, qui ne condamne pas autrui mais le regarde avec compassion, toujours prêt à l’aider, à le servir, à lui pardonner. Alors ce cœur, débarrassé de sa coque d’égoïsme, libéré de sa prison, purifié de ses miasmes – comme un minerai est purifié de ses scories – pourra voir Dieu. Sans extases ni apparitions, il jouira de la Présence de Celui à qui il a offert son cœur.
LA PAIX
Heureux les artisans de paix: ils seront appelés fils de Dieu.
Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice: le Royaume de Dieu est à eux.
Le saint cesse de vouloir en imposer aux autres; il perd toute idée de vengeance. Dans la jungle qu’est souvent la société humaine, il refuse d’être un animal qui agresse: il veut être un homme qui jamais ne se résigne à l’hostilité permanente, à l’état de guerre perpétuelle. Son patriotisme ne veut pas dire haine de l’étranger; sa couleur de peau ne le rend pas raciste; son statut social ne le remplit ni de morgue ni d’envie; son christianisme ne le juche pas sur un piédestal.
Et il accepte – car il le constate tout de suite – que s’il opte pour le bonheur de la paix, il sera épié, critiqué, vilipendé, combattu, arrêté, jugé, condamné.
Et, avec la grâce de Dieu, il fera cette expérience paradoxale d’être heureux au sein même de ses souffrances. Ainsi recevra-t-il la preuve que son Dieu ne lui a pas menti.
Que la Toussaint perde pour nous son brouillard, son odeur de chrysanthèmes et de feuilles mortes.
Devant les tombes qui réveillent tant de souvenirs, que nos larmes ne nous empêchent pas de nous réjouir.
Dieu n’a pas fait l’homme pour la mort mais pour qu’IL VIVE !
Si la nature descend dans la nuit de l’hiver, c’est pour se réveiller au printemps.
Si nos défunts sont retournés à la poussière, c’est pour en resurgir dans la Lumière de la Résurrection.
La Toussaint est une expression de la foi et de la réalité de l’Eglise.
Jour de fete, jour de joie où nous prenons davantage conscience de cette béatitude promise par Dieu et réalisée son Fils dans l’Esprit d’amour.
Toussaint, la place de l’Homme est dans le coeur de Dieu où tous sont frères.
A chacun de collaborer à cette merveille et d’en vivre.
Homélie de Toussaint
« Jésus s’assit et ses disciples s’approchèrent ». L’appel à la sainteté concerne tous les disciples. Jésus ne s’adresse pas aux seuls douze apôtres. C’est à tous sans distinction que Jésus s’adresse.
Il en allait de même dans le désert, avec Moïse. « Parle à toute la communauté des fils d’Israël; tu leur diras : ‘Soyez saints, car je suis Saint, moi, le Seigneur, votre Dieu’ » (Lévitique 19,2). Un commentateur juif de la renaissance, Moïse Alshikh (1508-1600), a eu ces remarques bien éclairantes : « Le Seigneur demande à chaque homme d’être saint et d’imiter ainsi son Créateur. Néanmoins beaucoup de gens supposent à tort que cet objectif ne peut être que celui d’une poignée d’élus et renoncent à rechercher cet idéal spirituel. C’est une erreur… Ce chapitre a été donné à ‘toute l’assemblée’ pour que chacun sache que ce message n’est pas destiné à une minorité puisque toute la communauté des fils d’Israël est inclue dans l’appel à ‘être saints’ ».
Il n’y a pas deux classes de fils d’Abraham. Jésus nous la redit hier, avec Zachée. De même, il n’y a pas deux classes de disciples du Christ. Ce qui doit donc surtout nous intéresser aujourd’hui, c’est la sainteté ordinaire qui nous concerne directement, parce qu’il s’agit d’abord et avant tout d’une vocation commune.
Au sens strict, Dieu seul est saint. La Bible le proclame et le répète. Mais elle proclame et répète aussi au nom du Seigneur : « Vous serez saints, parce que je suis saint ». Ou encore : « Soyez saints, car je suis saint ». « Soyez parfaits, comme votre Père céleste est parfait », ajoute Jésus.
Si par la foi, qui est un amour, nous entrons en communication avec Dieu qui est sainteté parfaite, celle-ci se communiquera à nous dans la mesure même où grandira notre communion avec lui. Plus nous nous laissons envahir par l’Esprit de Dieu, et donc du Christ, plus nous lui sommes fidèles, plus nous lui ressemblons, plus nous progressons en sainteté.
Nous ne sommes pas non plus tous appelés à la même sainteté, c’est-à-dire au même type d’union au Christ, ni à la même plénitude de vie chrétienne, ou à la même perfection de la charité. Est saint ou sainte, celui ou celle qui, dans les limites qui lui sont propres, s’ouvre à la Bonne Nouvelle et se conforme au Christ.
Il est donc totalement faux de croire que les saints canonisés par l’Eglise le sont à cause de grâces extraordinaires, comme le don de miracles et de prophétie, ou des faveurs mystiques spéciales. Les saints sont des hommes et des femmes qui s’efforcent, au jour le jour et non sans mal, d’être fidèles à l’amour de Dieu et des autres. Un Abbé de monastère a dit non sans humour : « Parfois, ce ne sont pas les saints que l’on devrait canoniser, mais ceux qui vivent avec eux… »
Monseigneur Fulton Sheen, qui fut archevêque de New York, écrivait : « L’homme de Dieu ne dépense pas plus d’énergie pour vivre en saint que n’en dépensent le directeur d’une agence de publicité, un athlète ou une femme qui veut à tout prix rester jeune et mince. La différence réside seulement dans le sens des valeurs. » C’est donc à notre portée… réjouissons en nous !
Bonne fête de Toussaint !
Tout le monde cherche le bonheur. Auparavant, avant ma conversion, j’achetais beaucoup de choses superflues, mais plus j’en avais, plus il m’en fallait. J’étais donc dépendante et esclave de mes pulsions dépensières. En fait, par ces achats je cherchais à me rassurer d’une part, et à me mettre en avant, d’autre part.
Maintenant, je suis du mieux que je peux la voie étroite préconisée par Jésus et petit à petit mes achats compulsifs ont bien diminué. Bien sûr, au début, c’est dur de marcher sur la voie étroite, on se “cogne partout”, mais en devenant de PLUS EN PLUS PETITE, je souffre beaucoup moins sur le chemin du Christ. Ainsi, j’ai appris l’humilité.
Comme Jésus le dit dans ses Béatitudes, je suis moi aussi une NON VIOLENTE dans l’âme. Je refuse totalement d’asservir autrui par le mensonge, l’absence de parole qui dénie l’existence ou au contraire les paroles qui dénigrent et agressent. J’AI RENONCE AUX ACTES MALFAISANTS. Ainsi, le Père m’ouvrira son royaume.
Et puis cette façon de renoncer aux actes malfaisants ouvrira peut-être le chemin de la conversion, de la rencontre véritable avec Dieu, à mes adversaires !
De toute façon, pour rencontrer le Seigneur, il faut absolument améliorer la qualité des relations humaines. Je ne l’oublie jamais et je suis plutôt heureuse de rencontrer des gens. Ils sont toujours de bonne humeur et ont toujours envie de discuter un peu
Cette année nous n’allons pas à THONON le 1er novembre pour voir ma Maman dans sa maison de retraite et fleurir les tombes mais nous ferons tout cela le 11 novembre.
Oui, la fête de la Toussaint nous appelle à la joie et à l’espérance !
PORTEZ-VOUS BIEN !!
Christiane
bonjour,
j’apprécierais beaucoup avoir deux dimanches à l’avance. je réuni mon groupe de partage de la Parole aux deux demaines, et vous donnez que le prochain dimanche, je vous remerci de tenir compte de mon billet,
bon dimanche lucienne
Je vous remercie de l’intérêt que vous portez à mes homélies. Mais je voudrais vous dire que je fais un réel effort pour me tenir à une semaine.
Toutefois, si vous souhaitez avoir une idée pour les divers dimanches, je vous signale une page d’archives sur mon site : http://preparonsdimanche.puiseralasource.org/?p=archives
J’ai aussi ouvert une page qui propose une banque d’homélies : http://www.puiseralasource.org/index.php?page=sources2
J’espère que vous y trouverez votre bonheur
Une vidéo sur la sainteté :
http://www.lourdes-radio.com/player/invite_semaine.php?lang=fr