Des éléments pour préparer l'homélie de dimanche ou pour méditer sur les lectures bibliques. Des vidéos, des réflexions sur les sacrements et sur la foi…
La Transfiguration de Jésus associe étroitement les deux faces de son mystère pascal et vient ici comme un avant-goût de sa résurection par de-là ses souffrances et sa mort en croix. Elle constitue déjà une vision anticipée de la gloire qui attend le fils de l’Homme par delà les humiliations et les souffrances de la passion.
A deux reprises, l’Eglise évoque cette manifestation extraordinaire : le deuxième dimanche de Carême et plus solennellement le 6 Août.
La Transfiguration se passe sur une montagne (site symbolique), lieu traditionnel à travers toute la Bible, de la Révélation divine; Dieu se fait proche, Dieu se révèle.
Les trois disciples privilégiés de cette expérience inouïe : les trois premiers appelés d’hier, qui seront, demain, les témoins de l’agonie de Jésus à Getsémani.
L’intervention des deux grandes figures de l’Ancien Testament : Moïse et Elie. L’Ancien et le Nouveau Testament forment un un Tout indissociable.
Moïse était l’homme de l’Alliance au Sinaï, au cours de l’Exode. EIie voulut raviver cette alliance quelques siècles plus tard, alors que l’idôlatrie semblait engloutir Israël.
A l’un comme à l’autre, Dieu s’est manifesté sur une haute montagne : Le Sinai et l’Horem.
Quant à Jésus, Il va établir “l’Alliance nouvelle et Eternelle” dans la “Ville Sainte qui tue les prophètes”. Cette Transfiguration, sur le Mont Thabor, cette Lumière, c’est Dieu qui se fait “voir dans toute sa Gloire”; ces faits nous rappellent le Buisson Ardent où Dieu se révèle : “Je suis”.
Aujourd’hui, cette même voix va révéler la Divinité de Jésus :”Celui-ci est mon Fils bien-aimé : “Ecoutez-Le” !
Tous les signes rapportés dans les textes, nous disent une réalité fondamentale : la Présence de Dieu sous le banal quotidien. Efforçons-nous d’être à l’écoute du “Fils bien-aimé.
Pendant cinq semaines d’affilée, l’Eglise nous propose l’Evangile de Jean. Dimanche dernier, déjà, Jésus a commencé à nous parler du pain de vie. les Juifs voudraient être nourris gratuitement comme leurs pères par Dieu dans le désert grâce à la manne.
Comme il avait dit : “Moi, je suis le pain qui est descendu du ciel”, les juifs récriminèrent contre lui : alors qu’on croit tout connaître de lui : n’est-il pas le fils de Joseph ? il les détrompe en insistant sur ses liens avec le Père. Il essaie de leur faire comprendre que l’appel de Dieu doit passer par Lui. Il est celui qui ressuscite au dernier jour, il est à l’origine d’une vie nouvelle qui ne sera pas détruite par la mort, cette mort qu’ont connue leurs pères alors qu’ils ont été nourris par la manne. Je suis”, comme Dieu lui- même l’a dit : “Je suis”.
“Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je vous donne c’est ma chair, donnée pour que le monde ait la vie”.
Quand nous participons à l’Eucharistie, nous entendons le Seigneur nous dire : “Lève-toi et mange, car la route sera longue”. Il nous reste alors par la foi et par l’Esprit à devenir ce que nous avons reçu.
La Transfiguration de Jésus associe étroitement les deux faces de son mystère pascal et vient ici comme un avant-goût de sa résurection par de-là ses souffrances et sa mort en croix. Elle constitue déjà une vision anticipée de la gloire qui attend le fils de l’Homme par delà les humiliations et les souffrances de la passion.
A deux reprises, l’Eglise évoque cette manifestation extraordinaire : le deuxième dimanche de Carême et plus solennellement le 6 Août.
La Transfiguration se passe sur une montagne (site symbolique), lieu traditionnel à travers toute la Bible, de la Révélation divine; Dieu se fait proche, Dieu se révèle.
Les trois disciples privilégiés de cette expérience inouïe : les trois premiers appelés d’hier, qui seront, demain, les témoins de l’agonie de Jésus à Getsémani.
L’intervention des deux grandes figures de l’Ancien Testament : Moïse et Elie. L’Ancien et le Nouveau Testament forment un un Tout indissociable.
Moïse était l’homme de l’Alliance au Sinaï, au cours de l’Exode. EIie voulut raviver cette alliance quelques siècles plus tard, alors que l’idôlatrie semblait engloutir Israël.
A l’un comme à l’autre, Dieu s’est manifesté sur une haute montagne : Le Sinai et l’Horem.
Quant à Jésus, Il va établir “l’Alliance nouvelle et Eternelle” dans la “Ville Sainte qui tue les prophètes”. Cette Transfiguration, sur le Mont Thabor, cette Lumière, c’est Dieu qui se fait “voir dans toute sa Gloire”; ces faits nous rappellent le Buisson Ardent où Dieu se révèle : “Je suis”.
Aujourd’hui, cette même voix va révéler la Divinité de Jésus :”Celui-ci est mon Fils bien-aimé : “Ecoutez-Le” !
Tous les signes rapportés dans les textes, nous disent une réalité fondamentale : la Présence de Dieu sous le banal quotidien. Efforçons-nous d’être à l’écoute du “Fils bien-aimé.
Pendant cinq semaines d’affilée, l’Eglise nous propose l’Evangile de Jean. Dimanche dernier, déjà, Jésus a commencé à nous parler du pain de vie. les Juifs voudraient être nourris gratuitement comme leurs pères par Dieu dans le désert grâce à la manne.
Comme il avait dit : “Moi, je suis le pain qui est descendu du ciel”, les juifs récriminèrent contre lui : alors qu’on croit tout connaître de lui : n’est-il pas le fils de Joseph ? il les détrompe en insistant sur ses liens avec le Père. Il essaie de leur faire comprendre que l’appel de Dieu doit passer par Lui. Il est celui qui ressuscite au dernier jour, il est à l’origine d’une vie nouvelle qui ne sera pas détruite par la mort, cette mort qu’ont connue leurs pères alors qu’ils ont été nourris par la manne. Je suis”, comme Dieu lui- même l’a dit : “Je suis”.
“Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je vous donne c’est ma chair, donnée pour que le monde ait la vie”.
Quand nous participons à l’Eucharistie, nous entendons le Seigneur nous dire : “Lève-toi et mange, car la route sera longue”. Il nous reste alors par la foi et par l’Esprit à devenir ce que nous avons reçu.
Merci Marie Jeanne et merci père Jean pour vos enseignements que j’ai lus deux fois pour bien m’en imprégner.