5ème dimanche du temps ordinaire
Abbé Jean Compazieu | 31 janvier 2010Dimanche de la Santé
Textes bibliques : Lire
En ce dimanche de la santé, les textes bibliques nous donnent le témoignage d’une grande espérance. Nous le voyons d’abord dans la lettre de saint Paul (2ème lecture) : “Frères, je vous rappelle la bonne nouvelle que je vous ai annoncée : Christ est mort pour nos péchés, il a été enseveli, il est ressuscité le troisième jour.” Cette annonce nous ramène au cœur de l’Evangile. Avec Jésus, le mal n’a plus le dernier mot. Le Christ est passé de la mort à la vie et il nous entraîne tous à sa suite.
Cette aventure de Pierre et celle de Paul ont commencé par une rencontre. C’est Dieu qui fait le premier pas vers l’homme. Il en a été ainsi pour Isaïe : Dieu lui pose une question : “Qui enverrai-je ? Qui sera notre messager ? Et le prophète lui répond : “Je serai ton messager, envoie-moi.” C’est ainsi que la rencontre avec Dieu renvoie toujours vers les autres. Dans ce monde souvent déboussolé, nous sommes appelés à être les témoins de son amour passionné. Dieu ne peut pas supporter que les hommes courent à leur perte.
L’apôtre Pierre a vécu, lui aussi, une rencontre qui a bouleversé sa vie. Cela se passait au bord du lac de Tibériade. Pour mieux comprendre cet évangile, il faut se rappeler que dans le monde de la Bible, la mer c’est le symbole des puissances du mal ; elle engloutit les navires et personne ne peut la maîtriser. C’est ainsi que les puissances sataniques cherchent le malheur de l’homme en le détournant de Dieu. Mais Jésus arrive ; il annonce la bonne nouvelle d’un Dieu plein d’amour et de miséricorde. Lui-même est venu chercher et sauver ceux qui étaient perdus.
Mais pour cette mission, le Christ n’a pas voulu être seul. La grande aventure a commencé avec des pécheurs du lac de Galilée. Jésus monte dans la barque de Simon et s’éloigne du rivage pour enseigner la foule. Pour Simon et ses amis, la barque c’est leur lieu de travail et de vie. C’est là qu’ils passent la plus grande partie de leur temps. Aujourd’hui encore, le même Christ monte dans ma barque ; il s’invite sur mon lieu de travail, dans ma maison, là où je vis. C’est depuis ce quotidien qu’il m’enseigne. Prier c’est précisément accueillir le Christ dans ma vie, c’est prendre le temps de l’écouter depuis le cœur de mes activités.
Cette rencontre avec Pierre a été marquée par un événement bouleversant : Jésus lui demande d’avancer au large et de jeter les filets pour prendre du poisson. Malgré l’échec de la nuit, Pierre et ses compagnons font confiance à Jésus. Le résultat est tellement extraordinaire qu’ils sont saisis d’effroi : “Eloigne-toi de moi, dit Pierre, je suis un homme pécheur.” Mais Jésus le rassure : “Je ferai de toi un pécheur d’hommes. Cette parole du Christ vaut aussi pour nous, prêtres, religieux, religieuses et laïcs. Etre pêcheur d’hommes ce n’est pas les capturer mais les libérer de leurs chaînes et de tout ce qui tend à les engloutir. Le Christ n’accepte pas que nous ne pensions qu’à nos intérêts matériels immédiats. Il veut nous ramener tous à la vraie vie. L’annonce de cette bonne nouvelle est une priorité absolue.
Comme Pierre, nous avons aussi l’expérience de ces nuits pénibles et de ces matins désappointés. Mais le Seigneur est toujours là pour nous redire : “Avance au large”, va rendre visite à ton voisin qui est seul, malade ou dans la peine. “Avance en eau profonde”… Cette eau profonde c’est l’abîme de l’accident, de la maladie, du handicap mais aussi celui du découragement, de l’angoisse et de la solitude. L’important c’est d’oser la rencontre. C’est ainsi que nous rejoindrons l’expérience du Christ qui est lui-même allé à la rencontre des personnes éprouvées par la souffrance. Puis quand son heure est venue, il a vécu le mystère pascal. Il a affronté la souffrance et la mort pour nous ouvrir le passage de la mort à la Vie.
Cet appel à oser la rencontre concerne aussi pour ceux et celles qui sont retenus par la maladie et le handicap. C’était l’inspiration du Père François quand il a fondé la Fraternité chrétienne des personnes malades et handicapées. Il disait : “La Fraternité c’est un malade qui va vers un autre malade et ensemble, ils vont vers un troisième.” C’est aussi à travers ce témoignage que l’évangile est annoncé. Pour remplir sa mission l’Eglise a besoin de tous. C’est ensemble, les uns avec les autres que nous sommes appelés à tirer le filet.
Mais nous ne devons jamais oublier que sans Jésus, ces filets resteront vides. Si nous abandonnons la prière et les sacrements, nos efforts resteront vains. On va peiner des jours et des jours pour rien. Le Christ nous invite à nous raccrocher à lui et à accueillir la nourriture qu’il nous propose pour nourrir notre foi, notre espérance et notre amour. Il nous assure de sa présence tous les jours et jusqu’à la fin de notre vie.
Nous t’en prions, Dieu notre Père, répands sur nous ton Esprit ; qu’il nous oriente sans cesse vers la Lumière. Qu’il nous donne la force de conformer notre vie à la Parole de ton Fils Jésus Christ, lui qui a été envoyé pour les pécheurs comme pour les justes. Amen
D’après diverses sources
Chaque année, le premier dimanche de février, les chrétiens sont invités à porter leur attention et leur prière sur une réalité de plus en plus importante dans le monde d’aujourd’hui, la communication. Cette journée a été voulue par les évêques lors du Concile Vatican II. Ils avaient bien compris l’enjeu des nouveaux médias. En effet, la communication c’est l’essence même du christianisme. Communiquer l’évangile a été la tâche majeure des apôtres et des disciples après la Pentecôte.
Aujourd’hui, plus que jamais, la mission passe par les médias. L’Eglise nous invite à mieux connaître ceux qui sont au service des chrétiens, bulletins diocésains et paroissiaux, journaux et revues, la télévision, la radio… L’Eglise les utilise largement pour rejoindre le monde d’aujourd’hui. Nous connaissons tous l’impact des messes télévisées : le dimanche matin, elles sont très appréciées des personnes malades et handicapées qui ne peuvent aller à l’église.
A cela s’ajoutent les blogs et les sites Internet des diocèses, des paroisses mais aussi de nombreux chrétiens qui ont pour but d’annoncer l’Evangile au monde entier. Le “phénomène” Internet est présent dans toutes les couches de la société : enfants, jeunes, adultes, aînés. Des personnes malades ou isolées trouvent là un moyen pour sortir de leur solitude et rencontrer des amis. Il est important que chacun soit bien guidé vers des sites qui les “élèvent”. C’est dans ce monde tel qu’il est et avec les moyens dont il dispose que l’Eglise est appelée à remplir sa mission d’annoncer l’Evangile de Jésus Christ.
Un dernier point : La mission n’est pas notre affaire personnelle, notre entreprise. Nous ne sommes pas à notre compte mais à celui de Jésus qui nous appelle et qui nous envoie. Et n’oublions pas que le premier communicateur, c’est l’Esprit Saint. Sans lui, rien ne serait possible.
“O Seigneur, envoie ton Esprit qui renouvelle la face de la terre.”
Le récit de la pêche miraculeuse ne devrait pas focaliser l’attention : l’essentiel est dans l’annonce de la PAROLE DE DIEU.
Un homme d’une trentaine d’années, ancien charpentier d’un tout petit village, sans diplômes ni moyens financiers ni appuis près des puissants, a circulé, à pied, pendant environ 2 ans, dans les environs du lac de Galilée. Au contraire des Esséniens installés dans leurs bâtiments sur le site de Qumran et de Jean-Baptiste fixé sur la rive du Jourdain, Jésus a marché sans arrêt. A une foule l’ayant rejoint quelque part et voulant le retenir, il répond: “Aux autres villes aussi il me faut annoncer la bonne nouvelle du règne de Dieu car c’est pour cela que j’ai été envoyé” (4, 43). “Il me faut” indique toujours une volonté de Dieu: Jésus ne choisit pas son comportement, il ne fait qu’obéir à son Père. Le Règne de Dieu s’offre lorsqu’il arrive quelque part.
Dieu ne convoque pas les hommes à un endroit sacré ( pas de temple, de Gange, de Kaaba, de cathédrale, pas de lieu saint dans l’Evangile ): en Jésus, c’est Dieu qui se déplace, qui va à la rencontre des gens, qui les rejoint dans leur milieu, au cœur de leurs occupations. Il respecte les coutumes locales, il n’impose pas un habit, un insigne, une maison commune, le célibat. Il laisse les gens mener leur vie…mais il proclame la nouvelle:” Dieu vient” et il enseigne comment se convertir, comment devenir d’authentiques citoyens d’un mystérieux Royaume qui, avec lui, est toujours en train de commencer ! Chaque jour peut être un AUJOURD’HUI du Règne.
Le premier travail missionnaire de l’Eglise est de CIRCULER EN PROCLAMANT LA BONNE NOUVELLE. Cette “évangélisation” ne doit jamais être considérée comme accomplie une fois pour toutes. Après l’AUJOURD’HUI de l’annonce, il n’y pas de lendemain où il suffirait de catéchiser et promouvoir un réseau d’œuvres à étiquette chrétienne. On le voit bien maintenant: ce ne sont pas les bâtiments qui manquent, c’est la foi première, l’écoute et la réponse lucide, consciente, voulue, la décision de laisser Dieu régner dans nos cœurs.
Le concile Vatican II rappelait que les évêques sont les successeurs des apôtres et déclarait que “parmi les charges principales des évêques, la prédication de l’Evangile est la première… Ils sont les hérauts de la foi, qui amènent au Christ de nouveaux disciples” (L’Eglise – § 25)
JESUS LE PREDICATEUR
Un jour, Jésus se trouvait au bord du lac de Génésareth: la foule se pressait autour de lui pour écouter la parole de Dieu.
Jésus n’introduit jamais ses discours à la manière des anciens Prophètes : ” Parole du Seigneur : …”. Il parle “avec autorité”, sans recourir à personne : il dit la PAROLE DE DIEU. Dans sa première parabole, fondement des suivantes, il se comparera à un semeur et la semence, explique-t-il, c’est LA PAROLE DE DIEU (8, 11). Ecouter cette parole et la mettre en pratique permet de devenir mère, frère ou sœur de Jésus” (8, 21), de goûter un bonheur égal à celui de Marie, la mère de Jésus (11, 28).
Est-ce que notre paroisse est d’abord le lieu où retentit cette Parole dans son authenticité ? Sommes-nous avides d’entendre la Bonne Nouvelle ? Tant d’heures perdues devant un écran crépitant de sornettes et de mensonges ! Nous avons si peu de goût pour enraciner notre foi, renouveler nos connaissances chrétiennes, illuminer notre vie.
Il vit deux barques amarrées ; les pêcheurs en étaient descendus pour laver leurs filets. Jésus monta dans une des barques qui appartenait à Simon et lui demanda de s’éloigner un peu du rivage. Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait la foule.
La barque de Simon devient chaire, tribune d’enseignement. La Parole de Jésus qui est Parole de Dieu commence à retentir à partir de là. Il faudra retenir ce symbole et accueillir la parole de Jésus qui est dorénavant prononcée à partir du lieu de Pierre. Encore faut-il que celui-ci (et son successeur) soit attentif à proclamer cette Parole de Dieu dans son authenticité et son actualité, sans la diluer dans des discours édulcorés ni la figer dans des listes de préceptes ni la dévoyer sur des voies de traverse ni la marteler avec une violence trop humaine.
LE SIGNE DE LA PECHE MIRACULEUSE
Chez Marc et Matthieu, Jésus, en passant, appelle des pêcheurs qui le suivent sans résistance. Luc ajoute le récit d’un signe qui rend plus plausible la réponse immédiate et qui donne le sens de la nouvelle mission de Pierre.
Quand il eut fini de parler, il dit à Simon : ” Avance au large et jetez les filets”. Simon lui répondit : ” Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre mais, sur ta parole, je vais jeter les filets”. Ils le firent et ils prirent une telle quantité de poissons que leurs filets se déchiraient… — On appelle les autres et on remplit les deux barques.
En effet, les pêcheurs du lac de Galilée travaillent la nuit. Ce matin ils sont bredouilles, recrus de fatigue, dépités. Cependant Simon a consenti déjà à prêter sa barque à ce nouveau prédicateur. Il l’a écouté. Sermon fini, il aimerait rentrer à la maison pour se reposer mais voilà que le prédicateur l’invite à reprendre les rames ! Il pourrait répondre qu’il est fatigué… que ce n’est d’ailleurs plus le moment de pêcher… et que voilà des heures qu’il essaie sans succès…et que ce n’est pas un prophète qui peut lui apprendre son métier ! Et cependant Simon obéit: on repart au large. Et tout à coup survient la merveille incroyable, un résultat totalement inespéré, un triomphe jamais réalisé !
La foi, c’est faire confiance à la parole de Jésus (“sur ta parole”), reprendre une démarche après beaucoup d’essais infructueux, faire un pas supplémentaire alors qu’on désirerait s’arrêter, recommencer quand on voudrait tout laisser tomber. C’est espérer au-delà de toute espérance, comme jadis Abraham (Romains 4, 18). Pourquoi donc nous protégeons-nous derrière des murs d’excuses ?…
A cette vue, Simon-Pierre tomba aux pieds de Jésus en disant : ” Seigneur, éloigne-toi de moi car je suis un homme pécheur”. L’effroi l’avait saisi, lui et ceux avec lui, Jacques et Jean, devant la quantité de poissons…
L’événement fait choc. Qui donc est ce prédicateur capable de provoquer un tel événement ? Après l’avoir d’abord appelé “maître”, à présent Simon s’effondre à ses pieds et l’appelle “Seigneur” devant lequel il ressent sa petitesse, son indignité. Le Christ ne l’a pas écrasé par sa puissance: c’est lui-même qui, devant l’inexplicable, se sent indigne. Ainsi le prophète Isaïe entré dans le temple de Jérusalem pour prier avait fait subitement l’expérience que Dieu, le trois fois Saint, était là tout près de lui (cf. 1ère lecture) : ici l’expérience a lieu dans une simple barque. En effet la Sainteté de l’Evangile peut éclater sur le lieu de travail le plus ordinaire.
La conscience du péché ne se confond pas avec un vague sentiment de culpabilité, une mauvaise conscience. Elle s’éveille quand l’homme “réalise” devant qui il se trouve, quand il entend une parole “de Dieu”, quand il constate ce que Dieu accomplit pour lui.
Ne devrions-nous pas imiter les communautés du Congo: depuis plusieurs années, la demande de pardon ne se déroule plus à l’entrée de la célébration eucharistique mais seulement après les lectures et l’homélie. C’est l’écoute de la “Parole de Dieu” qui provoque la prise de conscience, lucide mais non écrasante, d’une radicale faiblesse.
Jésus dit à Simon : ” Sois sans crainte : désormais ce sont des hommes que tu prendras”.
La pêche miraculeuse n’a pas eu lieu comme un prodige gratuit pour éblouir ces pauvres hommes ni encore moins pour leur offrir des revenus confortables – mais en tant que signe. Comprends, Pierre: comme moi, plus tard, tu laisseras l’auditoire de tes compatriotes et tu t’en iras “au large”, bien loin, à la rencontre des autres peuples. Dans cet immense monde païen, tu feras retentir la Parole de Dieu reçue de moi et, à ta grande stupéfaction, tu verras des foules bouleversées par la Bonne Nouvelle et décidées à se convertir à l’Evangile.
Solidaires de tes frères en mission, tu “prendras des hommes” qui se débattent et meurent dans un océan de mal : ils sont noyés dans les soucis, submergés dans les angoisses, ils coulent dans le désespoir, leurs couples font naufrage, leurs entreprises coulent à pic, ils sont balayés par des ouragans de détresses.
Il faut les sauver de toute urgence, les extraire de cet abîme et leur rendre le Souffle de l’Esprit. Mais pas question de capturer des individus dans les filets des règlements de l’Eglise : tu proclameras la joyeuse Parole de Dieu afin que tout auditeur puisse entendre l’appel et se décider librement à l’accepter.
Alors ils ramenèrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent.
Les pêcheurs, convaincus, comprennent l’appel qui leur est adressé: ils abandonnent tout et deviennent disciples itinérants de Jésus. Désormais ils partageront sa vie pauvre, ils marcheront sur ses traces, ils écouteront tous ses discours, contempleront tous ses miracles et apprendront peu à peu – et avec quelles résistances tenaces ! – que l’on sauve les hommes d’abord par la parole et les guérisons puis en donnant sa vie.
Aujourd’hui des jeunes ouvriers, employés, agriculteurs sauront-ils reconnaître, dans leur vie, les signes de fécondité que le Seigneur leur offre afin de tout laisser pour marcher en pauvreté et devenir les porte-voix du Seigneur ?…
– Des professionnels de la santé, des bénévoles et des proches sont au service des personnes en souffrance au quotidien
Sois avec eux, Seigneur, dans leur mission pour qu’ils rayonnent de ton amour et de ta tendresse
– Avec tous ceux qui vivent dans l’angoisse, qui luttent ou se découragent parfois, qui ont peur d’être abandonnés et d’être inutiles
Sois avec eux, Seigneur, pour qu’ils trouvent de notre part écoute, respect et affection.
– Des enfants et des jeunes pensent aux malades, aux personnes âgées et vont les visiter.
Sois avec eux, Seigneur, pour qu’à tout âge de la vie, nous soyons signes de ton amour auprès de tous ceux qui souffrent
– Des personnes absentes, malades ou très âgées de notre communauté prient avec nous en ce moment.
Sois avec nous, Seigneur, pour que notre communion avec Toi et entre nous sont plus intense.
Père Jean, tu dis que la rencontre avec Dieu renvoie toujours vers les autres. En effet, si je reste avec ma petite foi avec moi – même, JE SUIS STERILE. Les autres ont besoin de moi, ils sont tout ouïes, ils attendent de ma part compréhension, espoir et écoute. Je prends pour moi cette parole : “VOUS RECEVEZ GRATUITEMENT, DONNEZ GRATUITEMENT”.
Dans un autre domaine, je voudrais ajouter ceci : depuis que j’ai un ordinateur, ma vie a changé du tout au tout : tout d’abord, j’ai rencontré Jésus par l’intermédiaire du Saint – Esprit qui a mis le Père Jean sur ma route. Quel bonheur, chaque jour, de me connecter sur des sites chrétiens qui nourissent et élèvent mon âme ! D’autre part, j’ai ma fidèle RADIO ESPERANCE qui fait partie intégrante de ma vie.
Je voudrais aussi remercier le Père RD dominicain qui décortique parfaitement l’Evangile du dimanche. Je fais désormais bien attention à lire chacun des commentaires qui suivent l’homélie du Père Jean, car ils ouvrent de nouveaux horizons.
Seigneur, aujourd’hui je suis particulièrement à ton écoute. Je voudrais tellement devenir une vraie DISCIPLE du Christ ! Aide-moi à développer les qualités d’écoute et de patience qui me font encore cruellement défaut.
Je veux pouvoir dire enfin : “VRAIMENT, AU CENTRE DE MA VIE, J’AI PLACE LA SOURCE DIVINE”.
Christiane