Homélie pour la messe des malades le 17 mai
Abbé Jean Compazieu | 11 mai 2009Ce matin je suis heureux d’être parmi-vous pour célébrer ensemble le Seigneur. Je remercie aussi le Père Compazieu de m’avoir invité, et je salue aussi les personnes malades qui malgré les difficultés qu’elles rencontrent tenaient à être la ce matin. Certains parmi-vous vont recevoir le sacrement des malades. Je voudrais simplement rappeler que ce sacrement n’est pas celui des mourants, mais celui des vivants. Dés lors ce sacrement peut être reçu à tous les âges de la vie, chaque fois que l’état de la personne l’exige et qu’elle en fait la demande. Ce sacrement n’est rien d’une potion magique mais c’est surtout une grâce du Seigneur , un don gratuit de son amour. L’onction des malades rappelle surtout la présence aimante de Dieu, elle amène aussi un germe d’espérance au cœur de la relation que peut avoir la personne malade avec le monde et avec Dieu.